L'été est là ! Pour célébrer dignement le soleil radieux et les vacances qui approchent, on ne manque pas les événements les plus désirables qu’offre la capitale. Ce mois-ci, on note dans son agenda des happenings follement inspirants dans les plus beaux jardins de la région, une bouillabaisse comme en vacances signée Mauro Colagreco, une installation onirique et apaisante à la Bourse de Commerce, une piscine éphémère installée sur la terrasse la plus cool de Paris, une expo sur les prémices de la couture ou encore une foire 100 % créative pour attraper des œuvres, des vêtements et de jolis bijoux. Et parce qu’il est temps de prendre son avenir financier en main, on ne manque pas de prendre rendez-vous avec Homki pour vendre son appartement en deux temps, trois mouvements. Vous nous suivez ?
Vendre son bien avec Homki, leader de l’immobilier new gen’
“Tout le monde devrait avoir accès à un service immobilier de qualité sans avoir à payer des frais exorbitants.” C’est en partant de ce constat que s’est lancé Homki en 2018, avec pour ambition de faciliter la vie des vendeurs et acheteurs. Zéro pression, zéro stress : hyper simple d’utilisation, la plateforme en ligne permet une prise en main facile avec estimation gratuite par l’agent de secteur, shooting photos, gestion des visites de A à Z, délais de vente plus courts – 42 jours seulement en moyenne entre la signature d'un mandat et l'acceptation d'une offre d'achat – et comptes rendus en temps réel. Mais le gros avantage de cette agence immobilière new gen’, qui casse les codes, c’est surtout de proposer des coûts réduits par rapport aux agences physiques classiques : en toute transparence, au lieu de 5,78 % du prix du bien, Homki prélève des honoraires fixes et justes (de 6 900 € à 8 900 € en Île-de-France et pas un euro de plus).
Les agents Homki Île-de-France, issus des plus grands réseaux immobiliers français, permettent un accompagnement premium pour plus de sérénité. Avec son tarif imbattable, ses services hyper humains et ses délais de vente nettement raccourcis, Homki a déjà accompagné plus de 15 000 Français dans leur transaction et affichent une note de 4,9/5 sur Trustpilot. Là aussi : imbattables. Résultat, vous vendez plus vite, partez en vacances l’esprit léger et n’avez plus qu’une idée en tête : trouver le prochain appartement de vos rêves. Ça tombe bien : les Homkers s’occupent aussi de vous le trouver dans 600 villes en France, histoire d’attraper les meilleures affaires, partout en France…
Toutes les infos et offres à découvrir sur homki-immobilier.com.
Faire un plouf dans la piscine éphémère du Hoxton
C’est une info qu’on aurait souhaité garder secrète pour en profiter avant que tous les créneaux ne soient pris. Sacrifice oblige, on vous briefe sur le meilleur plan canicule de l’été : le Hoxton, Q.G. du cool planté en plein Sentier, a fait de son arrière-cour une vraie pool house avec pistoche, transats, glaces à l’italienne et grignotes 100 % foodporn. Pour en profiter, il suffit de caler un horaire entre 11h et 19h (après, impossible de faire plouf dans la piscine, seule la terrasse reste ouverte jusqu’à 22h30) pour profiter de trois heures sur place.
Le deal ? Vous réglez 30 € pour une chilienne, 55 € pour un transat ou 100 € pour un bed (et donc 50 € par personne). Mais la bonne nouvelle, c’est que ces frais de réservation comptent comme crédit pour consommer les food & drinks à la carte aux airs latinos, puisque sponsorisés par la tequila Patrón. En l’occurrence : quesadillas, croquetas, guacamole, encornets frits ou encore bar grillé et salade Caesar, à arroser d’un cocktail servi dans une mignonne petite bouteille, à moins de préférer les mocktails plus rafraîchissants comme le Peach Tan (Martini Floreale, thé rooibos, pêche, citron). Miam : la glace à l’italienne vaudra bien une jolie story sur insta. Nota bene : si tous les créneaux en ligne semblent complets, pas de panique ! Tous les 15 jours, le Hoxton en ouvrira de nouveaux.
La Piscine au Hoxton Paris, 30-32 rue du Sentier, Paris 2e. Piscine : 11h - 19h. Terrasse avec nourriture et boissons 11h - 22h30. Réservations obligatoires en ligne.
Découvrir le créateur génial Paul Poiret au MAD
On associe à tort la libération du corps féminin à Coco Chanel. Mais avant elle, il y avait Paul Poiret, à qui on doit l’abolition du corset ! Avec son génie sous le bras, il traverse la Belle Époque et les années folles, toujours plus innovant et débordant d’idées. De jeune couturier dans la maison Worth à soldat pendant la guerre, grand fêtard des années 20 et créateur de mode mercantile, Poiret a eu de multiples vies… et de multiples centres d'intérêt. Parce qu’un génie éclectique ne se limite pas à un domaine, Poiret dessine, peint, écrit des livres, décore des péniches à Paris et lance la première ligne de parfums signée par une maison de couture. Il est également le premier à organiser une tournée de défilés de mode aux quatre coins de l’Europe, afin de se faire de la publicité. Un homme haut en couleur qu’on découvre au Musée des Arts décoratifs, autour d’une monographie passionnante baptisée La mode est une fête.
L’exposition rassemble des robes vieilles de cent ans, des dessins et gravures de ses collections et des photos d’archives de ses modèles portant ses créations. On y apprend sa passion pour la danse, la fête mais aussi pour les voyages, trois sources d’inspiration majeures qu’on retrouve dans son œuvre. L’exposition est composite : des supports très variés dialoguent entre eux, mais également polyphonique : on y retrouve des œuvres de nombreux autres artistes qui gravitaient jadis autour du créateur ou des contemporains qui s'inscrivent dans sa lignée en le référençant. Cette pluralité artistique est à l’image de Poiret, qui était le premier à pratiquer la “collab”, c'est-à-dire le fait de faire appel à d’autres artistes pour apporter leur savoir-faire à ses créations : travailleurs du textile, décorateurs et illustrateurs travaillaient avec lui, comme il est d’usage de nos jours. On fonce découvrir ce visionnaire qui marqua l’histoire de la mode !
Paul Poiret, La mode est une fête - au MAD, du 25 juin 2025 au 11 janvier 2026.
S’offrir un avant-goût des vacances chez GrandCœur
Avec les trois étoiles de son restaurant Mirazur à Menton, son goût pour la cuisine du soleil et toutes les cartes qu'il signe sur la Riviera, Mauro Colagreco s’affiche comme le plus Méditerranéen des chefs argentins. C’est simple : il ne lui manquerait plus que de changer d’accent pour nous berner. Alors quand ce virtuose du produit s’empare d’un monument de la gastronomie provençale, on accourt forcément. Direction GrandCœur, son superbe restaurant planté dans une cour pavée du Marais. On s’installe évidemment sur sa si jolie terrasse, bercée par le piano des cours de ballet prodigués au-dessus par le Centre de Danse du Marais. Le contexte est déjà favorable.
Premier service : le crudo de la pêche du jour (pour nous, des gambas), bouillon de poisson de roche à pimper de rouille, de fromage râpé et de croûtons, avec un rab de toasts à l’ail pour saucer et ajouter au kif. On tente de garder de la place pour le second service dévoilant la bouillabaisse star, ses morceaux de poissons de roche (sébaste, rascasse, mulet noir…), ses rondelles de pommes de terre, son fenouil et ses herbes fraîches. La joie ! On conclut l’affaire en ajoutant une divine Pêche Melba, histoire de se rafraîchir et de prolonger l’esprit vacances (14 €).
GrandCœur par Mauro Colagreco, 41 rue du Temple, Paris 4e. Bouillabaisse disponible jusqu’à fin septembre. Menu à 69 € par personne pour les deux services, au déjeuner et au dîner.
Attraper la sublime collab’ d’Estrée x Cabana
Un rituel d’été qu’on adore, c’est de recevoir sa tribu à la maison autour d’une sublime tablée, trinquer au rosé et enchaîner les tomates burrata dans un joli service. La collab’ déco la plus désirable de l’été rassemble les univers délicatement compatibles de Cabana, la maison de déco chic en diable de Martina Mondadori et DESTREE, dont la garde-robe graphique et si stylée sort tout droit de l’imagination de Géraldine Arnault. Le résultat de cette capsule enchanteresse ? De sublimes assiettes en céramique fabriquées en Italie (à partir de 75 €), dont les motifs fleuris et rayures évoquent cette esthétique provençale dans l’air du temps et s’inspirent directement d’un ancien service appartenant à Géraldine.
On investit forcément dans les nappes aux imprimés indiens, déclinées dans un bel orange ou un vert signature de DESTREE (à partir de 290 €) avec les serviettes de table assorties (110 €), à moins de dépareiller avec de ravissants sets (80 €) et serviettes (50 €) brodés. Et parce que la mode n’est jamais bien loin pour ces deux-là, de superbes accessoires en passementerie ont également été confectionnés avec un savoir-faire authentiquement français. Parfaits pour un mariage : les ceintures (450 €) et clutches (550 €) se déclinent en orange, noir, crème ou vert.
Cabana x DESTREE, collection disponible en ligne sur cabanamagazine.com et destree.com.
© Credit Mark Luscombe-Whyte
Méditer devant une œuvre ASMR
C’est l’expo qui affole Instagram depuis son ouverture au mois de juin, et vous l’avez sûrement déjà aperçue en scrollant sur votre feed. clinamen, l'œuvre contemplative et poétique de Céleste Boursier-Mougenot, envahit la Rotonde de la Bourse de Commerce et ne la quittera pas avant le 21 septembre. Une installation multisensorielle à admirer volontiers des heures durant.
En physique épicurienne, “climanem” définit l'écart ou la déviation des atomes par rapport à leur chute dans le vide, ce qui permet de les entrechoquer. Cette thèse, souvent reprise en philosophie pour démystifier la notion de libre arbitre, est ici adaptée par l’artiste Céleste Boursier-Mougenot, qui la conceptualise en version art contemporain. Le résultat ? Un point d’eau de rêve, sur lesquels les bols en flottaison entrechoquent leur porcelaine, composant à eux seuls une symphonie méditative et éthérée. On déambule autour de ce bassin circulaire géant de 18 mètres de diamètre, offrant aux visiteurs un ballet aquatique où les bols, objets du quotidien, créent un dialogue poétique entre matières, sons et architecture, le temps d’une expérience qui peut être tout aussi individuelle que collective. Les passionnés d’art y trouveront un air modernisé des Nymphéas de Claude Monet, ou alors la sensation d'infini des bleus de Mark Rothko. Les oreilles musicales saisiront quant à elles l’aspect à la frontière de la musique minimaliste, l’aléa en plus. Normal : Céleste Boursier-Mougenot est aussi plasticien et musicien qu’il est talentueux et demandé par les institutions culturelles. Une installation magnifique qui pousse à la méditation, pour s’octroyer une pause dans un Paris toujours agité.
clinamen de Céleste Boursier-Mougenot, jusqu'au 21 septembre dans la Rotonde de la Bourse de Commerce — Pinault Collection. 2 rue de Viarmes, Paris 1er. Ouvert tous les jours sauf le mardi, de 11h à 19h, et les vendredis jusqu'à 21h. 15 € plein tarif.
Profiter des jardins autrement
Avec ces chaleurs, on a qu’une envie : se mettre au frais… et au vert. Cet été, la région Ile-de-France nous pousse à découvrir les jardins luxuriants de nos environs, en organisant de nombreux événements mêlant joyeusement culture et nature. Des activités kids friendly, idéales pour verdir nos week-ends à l’abri du bitume brûlant de la capitale.
À Paris ce mois-ci, on peint à l’aquarelle au musée Delacroix (10 juillet), on observe les étoiles la nuit dans les grands parcs parisiens, on s’adonne à un atelier boutures au jardins d’Eugénie (6 juillet) ou au jardins Renoir du Musée Montmartre, on partage un pique-nique au jardin Vertu (10 juillet) ou une découverte des plantes sauvages à la Coulée verte (26 juillet)... Un agenda chargé qu’on n’hésite pas à découvrir en détail sur la carte des événements. P.S. : pour le week-end de lancement de Jardins Ouverts, des concerts et spectacles ont lieu un peu partout en moyenne et grande couronne.
Jardins ouverts en Île-de-France, du 5 juillet au 31 août 2025. Week-end de lancement les 3 et 4 juillet, un week-end de clôture les 28 et 29 août.
Rejoindre la foire la plus créative de l’été
Amoureux d’art et de mode, vous avez jusqu’au 27 juillet pour faire un tour dans cette foire arty mêlant mode, cinéma, design et musique à deux pas du Centre Pompidou. Après le succès de la dernière édition, la Creative Fair revient en beauté dans un espace de 400 m² où chaque créateur installe son propre espace scénographié pour dévoiler ses créations. Cette fois-ci, un thème est imposé : Champ libre, entre nature et créativité. Résultat, on évolue dans une scénographie entre champ de campagne, jardin intérieur et forêt-cinéma tout en découvrant les créateurs de demain. La nouveauté non négligeable ? Un coffee shop immersif avec boissons et food vegan, qu’on s’empresse d’essayer. Sympa pour les dog parents : vos chiens sont les bienvenus !
À noter dans votre agenda, un programme ultra-diversifié : le vendredi, des afterworks sont organisés avec DJ set et drinks, de 17h30 à 21h30. Le samedi promet une journée complètement démente avec un marathon musical pendant 9h et même un running club partant du lieu pour courir dans Paris. Le mercredi réjouira les intellos pointus, entre projections de courts métrages dans la movie room (le 2 et 23 juillet) et écoutes audiophiles (les 9 et 16 juillet). Parmi les autres rendez-vous : live painting, défilés, talks en tout genre, showcase… Un mois qui s’annonce terriblement fun, sous le signe de la créativité.
Creative Fair, 24 rue Beaubourg, Paris 3e (à 50m du Centre Pompidou). Ouvert du 1er au 27 juillet 2025, du mardi au dimanche, de 10h30 à 19h30, nocturnes le vendredi jusqu’à 21h30. Entrée libre.
S’offrir Saint-Tropez en plein Paris
La Provence s’invite dans le 16e arrondissement ! Si le rooftop du Brach Paris propose une vue remarquable sur la tour Eiffel, il devient cet été une terrasse provençale avec Villa Minuty, où l’on retrouve toutes les saveurs méditerranéennes dans un décor inspiré par la Riviera. Reconnu pour ses vins rosé produits à Saint-Tropez, Minuty habille ce lieu de l’Ouest parisien en convoquant tous les codes de la Côte d’Azur entre fauteuils en bois et corde, oliviers et suspensions en rotin. L’atmosphère tropézienne suit évidemment côté carte : on commence avec l’élégance et la fraîcheur d’un Château Minuty Rose et Or 2024 (15 € le verre, 70 € la bouteille) ou encore d’un Château Minuty 281 2024 (bouteille 120 €).
Côté restauration : du poivron farci au thon (9 €), de la tapenade d’olives à la figue (11 €), un artichaut poivrade confit à l’huile d’olive (9 €), de la ventrèche de thon à l’huile (14 €) ou encore du caviar d’aubergine (11 €) à tartiner sur un bon pain façon focaccia (5 €). Et pour un peu de couleurs : la barquette de tomates du soleil (14 €) ou de fruits rouges (18 €) pour compléter cet apéritif à la provençale. Notre recommandation ? Arriver dès 19h pour s’assurer une table et profiter de la lumière rasante avant le coucher du soleil.
Villa Minuty – Rooftop de l’hôtel Brach Paris, 1-7 rue Jean Richepin, Paris 16e. Ouvert en saison et sans réservation
© Clélia Stevenard
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération
Donner rendez-vous à son +1 dans un bar secret
Avis aux romantiques qui aiment surprendre leur moitié et aux cœurs à prendre qui cherchent un lieu intime et élégant pour impressionner leur target dès le premier rendez-vous. Notre reco ? Miser sur les intérieurs feutrés des hôtels de luxe parisiens le temps d’un drink chic pour roucouler à deux. Lové dans une rue tranquille du 6e arrondissement du côté de Saint-Placide, le fringant 4 étoiles Victoria Palace abrite le James Bar, un repaire discret à l’abri des regards offrant un intérieur velouté, tout de vert vêtu, un billard et un adorable patio arboré au calme.
Derrière le bar, Apollonia règne en maîtresse de maison devant ses sirops, infusions, liqueurs et bitters préparés maison. Formée à la mixologie à l’École du Bar, cette virtuose du shaker propose une carte de potions signatures et sur-mesure proposées à 19 € : “J’aime créer des cocktails et des créations un peu farfelues !”, s’amuse-t-elle. En quelques questions sur nos goûts, la voilà qui apporte un parfait élixir herbacé à base de rhubarbe, gin Melifera (français ! ), citron vert et bitter d’orange ou encore un short drink aux fruits exotiques, liqueur de trois piments et sirop de gingembre. À tester également : l’un des meilleurs Espresso Martinis de la capitale, ici pimpé de bourbon infusé au pain au chocolat, liqueur de café maison et fève tonka. On accompagne le tout de chips de shiitake (une découverte), d’amandes thym, barbecue ou épices et de pain tout chaud pour tartiner des crèmes d’aubergine, de pois-chiche, d’artichaut, d’olives ou encore des rillettes de maquereau ou de poulet (3 pots 24 €). Ça sent le coup de foudre, par ici…
Le James Bar du Victoria Palace, 6 rue Blaise Desgoffe, Paris 6e. 01 45 49 70 00. Ouvert toute la journée à partir de 10h. Cocktails servis à partir de 16h30 en semaine et 13h les week-ends. Fermeture à minuit.
Traverser la Seine pour la nouvelle pâtisserie du Ritz
On craquait déjà pour Le Comptoir du Ritz, la pâtisserie la plus chic de Paris ouverte par l’hôtel de la Place Vendôme. Victime de son succès, l’adresse rue Cambon méritait bien un second écrin. Good news : ce 2 juin, Le Comptoir s’installe sur la rive gauche, juste en face du Bon Marché. Aux commandes : toujours l’excellent chef sucré François Perret, au sommet de son art.
Goûtés et approuvés : les sandwichs signature, à la pâte feuilletée légère et croustillante, s’imposent comme un casse-croûte hautement désirable à l’heure du déjeuner (15 €). Coup de cœur pour celui au saumon, subtilement citronné et parfaitement frais pour les beaux jours d’été. Côté sucré, on fond pour la nouvelle collection d’éclairs en trompe-l'œil (14 €), à la texture nuageuse mais aux goûts bien prononcés, tout particulièrement celui au café, exclusif à cette nouvelle adresse posée sur la rue de Sèvres. Son secret : sa saveur douce-amère est le résultat du travail des mêmes grains de café que ceux du bar, sélectionnés avec soin par la marque LOMI. Pas d’excuses donc pour ne pas se délecter d’un bon cappuccino onctueux avant de céder à l’achat de quelques douceurs afin de clôturer la visite de ce nouveau lieu en beauté.
Le Comptoir du Ritz, 45 rue de Sèvres, Paris 6e. Ouvert du mardi au samedi de 9h à 20 et le dimanche de 10h à 20h.
Dîner en écoutant du Jazz au jardins de Bagatelle
C’est l’événement à ne pas rater pour un date inoubliable : tous les mercredis soir, Le Melville, célèbre club de jazz parisien, prend l’air à deux pas du bois de Boulogne, au pied du magnifique château du jardin de Bagatelle datant du 18e siècle. Un cadre de rêve où se mêlent jazz, gastronomie et jardins à l’anglaise, idéal pour profiter du coucher de soleil qui laisse place vers 22h à un magnifique ciel étoilé. Au programme : un dîner-concert exceptionnel en 4 temps, durant lequel les talentueux musiciens du Melville nous offrent une session de jazz envoûtante devant la rotonde. Ceux-ci sont applaudis chaudement par les convives et encouragés par… le paon magnifique du jardin, qui apprécie lui aussi le spectacle ! Une parenthèse hors-du-temps qui donne l’impression d’être à la Cour du Roi soleil.
À la carte, un menu spécialement conçu et imaginé pour l’occasion par le chef Malcom Ecolasse, qui aime mélanger les inspirations (latines, asiatiques et tunisiennes…) et réussit à proposer à ses convives un voyage gustatif sensoriel qui accompagne à merveille la musique. Au menu : aubergine chinoise au labneh, poulet à la marjolaine et au curry noir, ceviche de saumon tendre à souhait, et mille-feuilles dulcey-cacahuète. Vins de choix et cocktails du jour accompagneng ces mets travaillés. Attention, du mariage de tous ces plaisirs naît un moment si romantique qu’on en (re)tombe amoureux !
Jazz à Bagatelle - Jardins de Bagatelle, 42 Route de Sèvres à Neuilly, Paris 16e. Tous les mercredis, du 7 mai au 30 juillet – 100 couverts. Accueil à partir de 19h, concert à 20h30. Un dîner en quatre services (3 plats salés et 1 plat sucré) et concert - 100 €. Réservation au plus tard le jeudi précédant l’événement. En cas d’intempérie, report sur une autre date ou remboursement.
Faire le tour des plus beaux clubs au Grand Palais Immersif
Qui dit argent dit dépenses, et qui dit crédit dit créance, alors on danse à la nouvelle rétrospective du Grand Palais Immersif : Clubbing. Au programme : une immersion sensorielle et festive dans les plus grands clubs du monde entier, ceux qui ont vu naître les VRAIES nights de folie, de New York à Berlin en passant par Paris ou Ibiza. Une expo qui donne envie d’aller faire la fête jusqu'au bout de la nuit !
Il faut dire que les boîtes de nuit en ont pris un sacré coup ces dernières années. Récemment, même le Macumba a fermé ses portes, signe d’une industrie en réel déclin. Hommage ou volonté de faire danser les foules à nouveau, quelques nostalgiques s’attèlent déjà à faire des soirées nocturnes et de leurs décors un sujet d’anthologie. Tandis que l’expo Disco de la Philharmonie de Paris cartonne, Le Grand Palais Immersif poursuit, lui, avec une trop cool rétrospective sur l’histoire des plus grands clubs. Enfilez un casque et lisez leurs histoires : Le Studio 54, les Bains Douches, le Palace ou encore le Berghain envahissent les couloirs du bâtiment, avec des playlists fidèles et des photos de ces boîtes, déjà fermées pour la plupart, et pourtant incontournables et toujours fantasmées. Quelques témoignages de chanceux qui ont pu expérimenter ces années folles, dont le pionnier de la French Touch Etienne de Crecy, ponctuent la déambulation à travers l’histoire des clubs. Cool, en tant que spectateur, il est aussi possible de rejoindre la fête : soit comme Méta Clubber en créant son avatar lors de l’exposition, soit sur le dancefloor aménagé pour cette dernière. Encore mieux : on pique les quelques centaines de morceaux que Clubbing propose durant la visite, et on se les réserve pour notre futur after en sortie de boîte.
Clubbing, une plongée immersive dans la culture club. Du 13 mai au 1er octobre au Grand Palais Immersif, 110 rue de Lyon, Paris 12e. Ouvert du mardi au mercredi de 11h à 20h, du jeudi au vendredi de 11h à 22h, le samedi de 10h à 22h et le dimanche de 10h à 20h. Plein tarif : 18 €.
Prendre un verre en terrasse arty
Les beaux jours sont bel et bien là, et s’enfermer dans des musées au lieu de profiter d’un si grand soleil peut s’avérer décourageant ! La bonne alternative pour celles et ceux qui souhaitent kiffer tout en se cultivant, c’est de squatter les berges de Seine avec notamment deux péniches artistiques : Fluctuart et Quai de la Photo qui, dès ce 1er mai, ouvrent les portes de leurs terrasses estivales et de leurs nouvelles expos respectives !
Ce sont de véritables expositions à ciel ouvert que proposent les péniches les plus arty de Paris ! Pour prendre un verre tout en boostant sa culture générale, on court dès le 1er mai du côté de Bercy pour profiter de la terrasse du Quai de la Photo. Au programme : le photographe urbain Jonk exposé sur une superficie de 400 m², sur des cloisons amovibles, faites de voilages qui décorent l’extérieur du Quai de la Photo. Et pour les accrocs d’expos (et d’apéros en extérieurs), on rempile dès le 14 mai à Fluctuart, accostée dans le 7e, qui accueille en son centre d’art urbain 5 artistes brésiliennes à l’occasion de la saison France-Brésil. Ainsi le lieu propose un voyage artistique rempli de diversité, pour boire un cocktail comme à Rio de Janeiro. Deux lieux, deux ambiances, pour un mois de mai gorgé de soleil et de culture !
« Naturalia, chronique des ruines contemporaines » de Jonk, du 1er mai au 19 octobre, au Quai de la Photo, 9 Port de la Gare, Paris 13 . Du lundi au dimanche de 12h à 23h30.
« Les Amazones » du 14 mai au 26 octobre, Fluctuart, 2 port du Gros Caillou, Paris 7. Du lundi au dimanche de 12h à 2h.
Admirer de beaux arbres en pleine capitale
Ces derniers jours, vous avez peut-être vu pousser quelques arbres de bronze en vous baladant en plein Faubourg Saint-Honoré. Cette façon originale de végétaliser la ville est signée Andrea Roggi, artiste italien qui habille de ses créations le Faubourg jusqu’au 12 juillet ! Une rencontre prestigieuse entre patrimoine parisien et art contemporain à aller admirer à tout prix.
Il faut dire qu’Andrea Roggi a su se faire une place douillette sur la scène internationale. Pour le printemps, ce maître dans l’art de la sculpture a planté ses 6 créations dans le quartier le plus chic de Paris. Ainsi, en déambulant dans le 8e, on croise les statuettes de bronze façon galerie à ciel ouvert, enracinées de la place de la Madeleine jusqu’au somptueux Hôtel de Crillon, où trône la pièce maîtresse entre bronze et pierres précieuses, Energia della Vita — conçue avec le joaillier Martin Katz. Son art organique et emprunt de réflexion existentielle, symbolisant la vie, l’énergie et l’existence, transpercent les rues de ce quartier iconique pour fondre l’art contemporain dans l’élégante architecture de Paris. L’occasion sous ce beau temps de s'offrir une promenade artistique gratuite et particulièrement inspirante.
Andrea Roggi, en collaboration avec le comité du Faubourg Saint Honoré, du 17 avril au 12 juillet. Place de la Madeleine, 54 – 58 rue du Faubourg Saint-Honoré, Place Maurice Barrès, au croisement de la rue Royale et du Faubourg Saint-Honoré.
Siroter des cocktails couture
Parce que tout prétexte est bon à prendre pour se retrouver autour d'un drink très chic à Paris, les sublimes hôtels MGallery reviennent de plus belle avec leur concept de World Cocktail Month. Cette année, les 120 hôtels de la Collection invitent la designer star Sarah Lavoine qui, décidément, n’a pas son pareil pour rendre l’art de la table aussi désirable.
Visez plutôt : trois verres à cocktails offriront une expérience de dégustation autour des recettes exclusives de Citadelle Gin. À déguster avec son +1 ? Le Cristal Diva au sirop de jasmin et fleur d’oranger, le Timeless Negroni infusé à l’ananas et au pandan ou encore le Honey 75 agrémenté d’huile d’olive, de verjus, de miel et de champagne. Et pour reproduire le kif à la maison ou offrir (tiens donc, la fête des mères se tiendra le 25 mai prochain), les hôtels proposeront évidemment les verres à la vente (30 € l’unité). Notre reco : roucouler et trinquer à l’extraordinaire 38 Bar Lounge à l’Hôtel L’Échiquier Opéra Paris - MGallery Collection (38 rue de l'Échiquier, Paris 10e), qui proposera ces cocktails création à partir de 16 €.
MGallery Collection x Maison Sarah Lavoine x Citadelle Gin, collaboration à retrouver du 14 mai au 31 août dans tous les bars MGallery du monde entier.
Se faire chouchouter dans le 9e
Soixante minutes de relaxation ultime dans un cadre magnifique, ça fait rêver ! Ce mois-ci, laissez-vous chouchouter par Olivier, qui vous offre une expérience bien-être inégalée : un massage complet du corps en direct de son adorable cabinet planté en plein 9e arrondissement.
Les promesses : relaxation et réduction du stress, soulagement des douleurs musculaires et articulaires, diminution des tensions du corps, et amélioration de la qualité du sommeil.
Son cabinet parisien est le lieu idéal pour se détendre au soleil : grandes fenêtres, cheminée typique et plantes vertes. Une parenthèse détente bien méritée.
S’offrir un petit déjeuner chic en diable
On vous a déjà avoué notre passion décadente pour les fruits givrés de Fruttini. Noix de coco, dattes, ananas, fraises ou agrumes deviennent de véritables œuvres d’art à apporter pour le dessert, moyennant un coquet budget et un effet XXXXXL. Si son adresse de la rue Saint-Placide attire les gourmets du Tout-Paris (et pas que de la rive gauche ! ), Fruttini vient d’inaugurer une petite boutique / salon de thé à deux pas de la place de l’Étoile pour déguster sur place ces douceurs glacées… dès le petit déjeuner !
Visez plutôt : pour 19 €, on vous apporte dans ce bel écrin ouaté, tout de vert vêtu, une part de cake ou de viennoiserie avec une boisson chaude et/ou froide au choix (miam : le café latte est une petite bombe). En prime : un kiwi ou une banane givrée pour commencer la journée en faisant le plein de vitamines. Trop joli, trop chic : à instagrammer d’urgence.
Fruttini, 3 avenue Victor Hugo, Paris 16e.
Boire un cocktail nostalgie au Syndicat
© Maeva Mitram et Pierre Dimech
Pour célébrer ses dix ans, Le Syndicat, bar culte du 10e connu pour ses créations ultra-contemporaines, revisite sa carte de cocktails : un changement radical qui nous embarque tout droit dans les années 2000. Désireux de renouer avec ces souvenirs de chewing-gum, granita, bonbons acides, yaourts à boire et boisson tropicale, les très talentueux mixologues du Syndicat se sont penchés sur la question de l'arôme. Un grand projet qui mêle alors deux objectifs audacieux : réconcilier le grand public avec les spiritueux, les vrais de niche, et parvenir à les incorporer dans cette palette nostalgique de saveurs d’enfance autour de potions toutes proposées à 15 €. Une madeleine de Proust ? Non, un Mister Freeze à l’armagnac !
Le directeur, Romain Le Mouëllic, ne s’est pas limité au ravalement de façade avec des affiches Y2K : la carte aussi s’est refait une jeunesse (littéralement). Désignée par la graphiste Espérance Baux, celle-ci prend des airs de pochettes CD et habille chaque cocktail d’un design illustratif, comme une vision parlante de son goût et de ses inspirations.
Dans les verres, ça donne quoi ? On fond complètement pour le Double Frozen, un granita au spiritueux calqué sur le Malabar bi-goût avec un côté fraise (Lillet Rosé, blend de rhums Savanna, fraise en trois façons) et un côté banane (Armagnac Janneau, Cap Mattei Blanc, Mélilot, banane) ; le Yog Deluxe inspiré des Actimel et servi dans des bouteilles en verre (Gin Generous au yaourt, Sake Nigori, myrtilles, citron, blanc d’œuf vegan), le Tropicool qui reprend le fameux goût de l’Oasis, (Armagnac Janneau, Cordial Tropical, distillat de pomelo Cointreau, poire Belle de Brillet) et le Ultimate Sour Mix qui nous rappelle les bonbons piquants dont on raffolait (Calvados Boulard, blanche d’armagnac, groseilles, pomme verte, kiwi, Antik Fire rhum, citron vert), disponibles aussi en version Mocktails. Vous l’avez, la nostalgie ?
Le Syndicat, 51 rue du Faubourg Saint-Denis, Paris 10e. Ouvert tous les jours de 18h30 à 2h.
Composer son bouquet de fleurs fraîches
Vous rêvez de fleurir votre salon d’anémones, tulipes, narcisses, renoncules, iris ou bleuets ? Ça tombe bien, c’est le printemps, et donc l’occasion parfaite de venir composer son bouquet de fleurs de saison chez Sophie, à la ferme florale de Montreuil. Sur une ancienne terre horticole des Murs à Pêches, la reine du mouvement “Slow Flower” Sophie dirige un plantation de fleurs de 7 000 m², pour permettre d’avoir des fleurs à disposition, et éviter de les importer de l’autre bout du monde.
1h30 d’initiation avec Sophie et l’équipe de la ferme florale, ce n’est pas seulement apprendre à composer un bouquet : on visite la ferme, on découvre les fleurs de saison et les valeurs Slow Flower, et on repart avec un bouquet de fleurs fraîches qui égayera votre intérieur. L’atelier pouvant accueillir 4 à 12 participants, il est possible de réserver votre atelier entre copines, en amoureux ou en famille, pour une expérience 100 % feel good.
Croquer dans les meilleurs dürüms de Paris
Quand on nous a annoncé qu’une nouvelle adresse de dürüms avait ouvert à Paris, notre sang n’a fait qu’un tour. Ni une ni deux, direction le Sentier pour attraper une place chez Leven, cantine de poche lancée par le franco-kurde Victor Yasar. Il y a de la bonne ambiance dans l'air ! Dans un tout petit décor pensé pour rappeler les marchés couverts moyen-orientaux, on admire de près les cuissons à la braise et, en cuisine, la cheffe Or Bitan (ex-Dalia) qui opère une véritable chorégraphie avec la pâte de son pain à dürüms. Car se sont bien ces stars de la street food levantine qui s’arrachent au déjeuner, remplacés le soir par de jolies assiettes à partager dans une ambiance plus tamisée avec musique et bougies…
Miam : les dürüms agneau, maquereau grillé, veggie aux champignons, kefta ou poulet sont garnis de bons légumes frais et de sauces divinement relevées. On commande aussi le chirchi, une crème de butternut au cumin et à l’ail (5 €) et l’incroyable chou pointu grillé avec tahini, mélasse de dattes, piment léger et graines de courge, dont on ne s’est pas encore vraiment remis (7 €). Cool : même les desserts envoient du bois avec un carrot cake moelleux à souhait posé entre un sirop et une bonne dose de crème fraîche (7 €) ou un flan malabi tout léger à la fleur d’oranger (7 €).
Leven, 110 rue Montmartre, Paris 2e. Ouvert du mardi au samedi midi et soir, les dimanches et lundis au déjeuner.
© Léo Kharfan
S’accorder une parenthèse au spa
Envie de recharger ses batteries sans quitter la capitale ? Direction Le Petit Beaumarchais Hôtel et Spa, repaire cosy du 11e où vous allez pouvoir chasser votre stress. Ici, c’est simple : pas de foule, pas de bruit, juste un spa privatisé rien que pour vous (et si l’envie vous prend, pourquoi ne pas inviter votre Jules à se joindre à vous ?). La promesse : un lieu zen, un superbe bassin, des voûtes en pierre qui vous transportent ailleurs, et 50 minutes pour vous offrir une pause parfaite pour zapper tous les tracas du quotidien.
On déconnecte illico en s’immergeant dans le Flotarium pour relâcher toutes les tensions, suivi d’un sauna pour éliminer les toxines et laisser place à une relaxation profonde. En bonus, des boissons chaudes ou froides permettent de prolonger cette parenthèse cocooning.
Le Petit Beaumarchais Hotel & Spa, 8 boulevard Beaumarchais, Paris 11e. Ouvert tous les jours de 10h à 20h30 et privatisé pendant 50 minutes pour chaque séjour. Réservation en ligne à partir de 80 €.