Coya : l’adresse des tacos bling-bling qu’il manquait à Paris

Plat de Petits calamars frits, marigold péruvienne, quinoa, Loup de mer, patate douce, maïs blanc, Maigre, truffe, ciboulette, ponzu

Bobos s’abstenir ! Mais si vous êtes une Parisienne chic en mal d’ambiance glam, festive et mondaine et que vous rêvez de faire péter vos jolies robes et Louboutin, l’endroit est tout trouvé dans un décor wahou de rigueur...

Ambiance intérieur de la salle du restaurant Coya

Être vu et voir

Installée dans une ancienne église, Coya, la salle à manger hyper glamour qui cartonne à Londres et Monaco, vient d’ouvrir à Saint-Germain-des-Prés avec une carte qui assume ses origines péruviennes, révisées à la sauce branchée à coup de Pisco Sour, tacos et ceviches.

Depuis son ouverture, le lieu ne désemplit pas et affiche souvent complet. Il faut dire que le resto a tout pour plaire.

Depuis les cuisines ouvertes, le chef Sanjay Dwivedi fait des merveilles. Avant même de commencer, on vous apporte un avocat à guacamoler sur des tacos. Le pain-beurre de la maison, si vous voulez. À tomber !

Dans la veine : on partage, on picore, on teste tout. Et ça déboîte : à commencer par les croquettes de bar à la mayo spicy, les petits calamars frits (13 €) ou d’incroyables petits baos (14 €) à boulotter avec des patatas bravas (7 €) ou des aubergines au sésame (6 €). On y va également les yeux fermés sur les ceviches. Le trio est une tuerie, avec mention spéciale pour le maigre à la truffe (35 €). Pfffff...

À tester absolument : les tacos, version veggie aux aubergines et poivrons grillés, yaourt, sésame (8 €), thon-wasabi (12 €) ou saumon avocat (11 €). Pour finir : passage obligatoire par les churros à tremper dans une sauce chocolat au lait, dulce de leche et zeste d'orange (12 €).

Un bar à l’étage

Pour flirter à l’étage ou faire la fête, le bar, planqué à l’étage, est une invitation au flirt ou à prolonger la soirée pour danser sur les sons électro sud-américains.

Derrière le bar, les cocktails sont secoués avec le panache caliente de Sany Bacsi. Et si on a une petite faim, des petites tapas comme en bas à partager.

 

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