Les restaurants les plus prisés de la fashion week

Les Cantines des Redactrices Mode pour la Fashion Week Paris

Le gratin de la mode est en ébullition ! Après la frénésie de Milan, c’est au tour de Paris d’accueillir sa Fashion Week du 26 février au 5 mars, faisant défiler les maisons les plus bankable du moment, de Balmain à Rabanne en passant par les incontournables frenemies Dior et Chanel

Ultime privilège du milieu : pour courir entre les shows et les soirées les plus privées de la capitale, les professionnel·le·s de la mode dont les mannequins, journalistes, acheteur·teuse·s et influenceur·se·s en tous genres pourront cette année compter sur Uber Fashion, une option gratuite pour faciliter leurs déplacements express (coucou le changement de tenues à l’arrière !). À bord d’une Tesla à portes papillon habillées de chrome, de léopard et de pois, les V.I.P se verront même offrir un nail art chromé en mode total look dans les voitures les jeudis, vendredi et samedi soirs. #EnUberLesFashions ! Vous avez la réf’ ? 

Histoire de nourrir tout ce beau monde, les cantines et restos les plus cool et glam’ de Paris rivaliseront à nouveau de charme et de gouaille pour attirer à leurs tables la fashionsphère et tout un tas de célébrités stylées ! Pour être sûr·e·s de les croiser, suivez le guide des adresses les plus prisées pendant la fashion week

 

Daroco

Restaurant Daroco à Paris

Le lieu. Installée dans l’ancienne boutique grandiose de Jean-Paul Gaultier, la table d’Alexandre Giesbert et Julien Ross ne cesse d’attirer les beautiful people en mal de pasta e pizza pendant la semaine de la mode. Il faut dire que dans ce décor extraordinaire se cachent des recoins discrets pour rester incognito, notamment à l’étage avec en prime cette impression de flotter par-dessus une jungle urbaine. Dites avec l’accent anglais : “C’est magnifique !”...

On y croise qui ? On nous chuchote dans l’oreillette que le beau Bradley Cooper est récemment venu y dîner côté mezzanine (et s’il revenait avec sa nouvelle girlfriend Gigi Hadid qui sera de tous les défilés ?), à l’instar d’Amina Muaddi et Eugénie Trochu du Vogue qui y ont fêté leurs anniversaires respectifs. Au déj’, on y croise volontiers les équipes de Celine et Kenzo dont les Q.G. sont retranchés dans la rue Vivienne, à deux pas. Last but not least : la divine Kendall Jenner s’y est prêtée au jeu d’un shooting entre cop’s pour le Vogue US

Nourriture de brindilles. Ici, c’est passion farine ! On raffole des linguine à la truffe noire (39 €) qui ne manquent pas de chic, à moins de partager (ou pas) la pizza Formaggissima fior di latte, gorgonzola et mozza fumée (21 €). Plus régime : la délicate burratina, giardiniera de légumes (18 €) et le tartare de langoustine, stracciatella & bottarga (24 €).

Daroco, 6 rue Vivienne, Paris 2e. 01 42 21 93 71. Ouvert tous les jours de 12h à 15h et de 19h à 23h.

© Alizée Cailliau 

 

Loulou

Restaurant branché Loulou

Le lieu. Rendez-vous dans les jardins des Tuileries, collé au musée des Arts Décoratifs. Voici LE rendez-vous parisien que cette sublime aile du Louvre méritait : un décor époustouflant signé Joseph Dirand tout en marbre, chaises Saarinen, touches 60’s et détails Art déco avec une vue inouïe sur Paris. 

On croise qui ? Le Tout-Paris mondain et néo-cocottes qui aiment être vues et se faire voir. Le gratin de la mode est aussi au rendez-vous, étant souvent cité comme le lieu le plus trusté de la fashion week ! Olivier Rousteing en raffole…

À la carte. Des nourritures mondaines vraiment délicieuses signées Benoît Dargère qui conviennent à tous appétits, sylphides comme gros bouffeurs. Concrètement : des calamari fritti (26 €) ou une soupe de tomates de Sicile, raviolis ricotta, blette, épinard (21 €), des artichauts violets à cru, vieux parmesan, huile d’olive vierge (28 €), une pizza à la truffe (50 €) ou la fabuleuse milanaise de veau alla saltimbocca (44 €). En dessert, on raffole des chouquettes à la crème vanillée, à tremper dans du chocolat (15 €) ou on partage une grosse pavlova aux fruits rouges (45 €).

Loulou,107 rue de Rivoli, Paris 1er. 01 42 60 41 96. Ouvert tous les jours de 12h à 14h30 et de 19h à 23h. 

© Loulou (@loulourestaurants), Romain Ricard et Matthieu Salvaing.

 

Montana

Restaurant branché Montana Paris

Le lieu. Collé au Café de Flore, faut-il encore présenter ce Q.G. de la jet-set parisienne et du monde du cinéma ? Après deux ans de travaux, le mythique Montana vient à peine de rouvrir ses portes avec un bar à cocktails, un restaurant à l’étage et un rooftop requinqué à la sauce 2023 dans les mains de Romain Taieb (fondateur des handrolls Doki Doki, ancien directeur du Piaf…). Avis aux serial teufeurs : pour l’instant, toujours pas de réouverture prévue pour le club.

On y croise qui ? À vous de nous dire ! Si, à l’époque, le Montana était le repaire de potes de Jean Dujardin, Nicolas Duvauchelle et Gilles Lellouche, le spot chouchou des people vient seulement de rouvrir mais promet déjà de renouveler l’exploit d’attirer le Paris qui compte, et d’autant plus pendant la fashion week. On y a déjà croisé une petite armada de stylistes et des mannequins bankable comme Mika Schneider.

Nourriture de brindilles. En cuisine, le chef romain Francisco Raul Conforti, une pointure passée au Pellicano et chez Anthony Genovese, deale les recettes qui font voyager le cœur : tartelette de champignons des bois, jaune d’œuf coulant (20 €), crudo de bar au leche de tigre (18 €), filet de bœuf normand, chutney d’échalotes au vinaigre balsamique (55 €) et profiteroles au citron (12 €), à accompagner d’un Negroni ou d’une Margarita de rigueur (18 €).

Montana, 28 rue Saint-Benoît, Paris 6e. 01 88 40 62 50. Ouvert tous les soirs. 

 

Siena

Restaurant branché Siena

Le lieu. C’est LA nouvelle adresse obligatoire de cette saison mode : Siena, un coin de Toscane au cœur du chicissime 8ème arrondissement. Le nouveau bébé de Mehdi Abdelhedi,  proprio de l’incontournable César (12 avenue de Wagram), convie à une parenthèse intime, presque dépaysante qui mêle cuisine authentique et généreuse. 

On y croise qui ? Les plus grosses celebs du moment. Le clan Hadid/Jenner, Kaia Gerber, la cover girl Amelia Gray, des pointures du sport mode-compatibles comme Kylian Mbappé et Serena Williams ou encore Selena Gomez, bref, toute l’équipe front row.  

Nourriture de brindilles. Les grands classiques de la cuisine italienne, exécutés à la perfection : linguine cacio e pepe, sauce au pecorino et poivre, servies dans une meule de pecorino (32 €), la milanese (côte de veau façon oreille d’éléphant, tomates cerises, roquette, 37 €) et le poulpe grillé (stracciatella, tomates Datterino, citron confit, gremolata, 32 €). En dessert, on commande la profiterole pistache (15 €) ou les churros nocciolata #guiltypleasure (14 €). 

Siena, 35 place du Marché Saint-Honoré, Paris 1er. 01 88 83 00 88. Ouvert tous les jours de 11h30 à 2h. 

 

Le Silencio des Prés

Restaurant branché Le Silencio des près

Le lieu. Au cœur du quartier de Saint Germain des prés, se cache Le Silencio des Prés, le restaurant du très sélect club Silencio conçu par le réalisateur David LynchUn lieu hybride intimiste mêlant cinéma et gastronomie dans une ambiance festive pour poursuivre la soirée jusqu’au bout de la nuit.

On y croise qui ? Des superstars de la musique tels que Kanye West ou Pharrell Williams, du cinéma avec Xavier Dolan et autres personnalités et critiques mode les plus hypes du moment. Loïc Prigent, Léna Situations ou le duo Théo & Rémi sont des habitués de la maison. 

Nourriture de brindilles. Aux commandes, le jeune chef étoilé Guillaume Sanchez (Top Chef 8, restaurant étoilé Neso puis Neso 2) propose une cuisine bistrot créative et durable. On aime : les noix de Saint-Jacques, crème de bardes, romarin (24 €), le poulpe grillé, vierge d’herbes fraîches, citron confit, légumes croquants (42 €) ou encore les ravioles de champignons, jus corsé (30 €). Au bar, Rémy Savage du Syndicat Cocktail Club éveille les sens des convives avec des cocktails audacieux : le Presidente et le Disco kakigori sont les incontournables de la carte (18 €). 

Silencio des Prés, 22 rue Guillaume Apollinaire, Paris 6e. 01 40 41 20 20. Ouvert du mardi au jeudi de 19h à 2h, le vendredi et le samedi de 12h à 2h et le dimanche de 12h à 17h. 

 

Bonnie

Restaurant branché Bonnie

Le lieu. Tout juste hissée au 16e étage de l’hôtel SO/Paris face à la Seine du côté du quai Henri IV, la nouvelle adresse de Paris Society promet d’attirer la faune mode pendant cette fashion week parisienne. Avec l’Ile Saint-Louis à ses pieds et une vue imprenable sur les plus beaux monuments parisiens, Bonnie affiche une atmosphère aux accents 60’s avec, sur la terrasse, une installation miroir décoiffante d’Olafur Eliasson et Sebastian Benham.

On croise qui ? Toute la semaine, les chambres de l’hôtel seront pleines à craquer de mannequins, acheteurs et stylistes venus du monde entier. Le soir venu, adresse festive oblige, on retrouvera comme toujours son lot d’actrices, de sportifs et d’artistes socialites enclins à se faire voir dans les lieux les plus hype du moment.

Nourriture de brindilles. Des plats de fête qui ne font pas grossir : voilà le mojo de la #PFW. On partage donc un cœur de saumon gravlax, crème citronnée (28 €), du dos de cabillaud, épinards, beurre blanc (34 €), du ris de veau croustillant, purée de pommes de terres, câpres (48 €) ou encore un bar rôti, champignons, sauce vin jaune (46 €) et, au dessert, des ananas rôti, coco, sorbet citron (16 €).

Bonnie, 10 rue Agrippa d’Aubigné, Paris 4e. 01 78 90 74 74. Ouvert du lundi au dimanche au déjeuner de 12h à 14h30, au dîner de 19h à 00h. Bar de 17h30 à 2h et club du mercredi au samedi de 22h30-3h.

 

Brasserie Lipp

Restaurant branché Brasserie Lipp

Le lieu. Un décorum et un menu inchangé depuis les années 30 qui accueille les personnalités les plus en vues du moment. Son atmosphère bouillonnante et authentique incarne la capitale à la perfection, intellectuelle, mondaine et désinvolte. 

On croise qui ? Le gratin parisien y fréquente l’establishment politique depuis François Mitterrand jusqu'à Emmanuel Macron, les figures littéraires en vogue de Verlaine à Beigbeder, les tops les plus bankable de la fashion week de Kate Moss à Emily Ratajkowski, et même le couple J.Lo et Ben Affleck incognito pendant leur lune de miel parisienne, à l’instar de tous les oiseaux de nuit excentriques et passionnés de la rive gauche. 

Nourriture de brindilles. Le menu certifié vintage reste indémodable. Les harengs bismark (13,50 €) et l’assiette de véritable jambon prince de Paris (15 €) font la part belle aux plats de pied de porc farci (24 €) ou de quart de poulet froid mayo et salade (25,50 €). Côté dessert, la parfaite mousse au chocolat (9 €) se dispute la vedette avec les éternelles profiteroles glacées (12,50 €). 

Brasserie Lipp, 151 boulevard Saint-Germain, Paris 6e. 01 45 48 53 91. Ouvert du lundi au dimanche de 9h à 00h45.

 

Tawlet Paris

Restaurant Branché Tawlet Paris

Le lieu. “Make Food Not War”. À Beyrouth, Kamal Mouzawak s’est employé à réconcilier les peuples à travers le partage du bon et de la terre dans son restaurant Tawlet. Désormais installé à Paris, le cuisinier iconoclaste a ouvert une petite sœur parisienne de sa table légendaire dans le 11e, une “table libre”, comme il aime la revendiquer, où l’on trouve le goût de la générosité et de la fête, l’excellence de la tradition libanaise et les saveurs humanistes de Kamal.

On croise qui ? Le gang ultimement mode des amis de Kamal : le grand couturier Rabih Kayrouz, Sophie Fontanel, Clara Cornet, Pierre Touitou…

Nourriture de brindilles. Comme c’est la tradition les jours de fête dans les familles libanaises, le festin est proposé sous forme de buffet où le personnel vous prépare votre assiette avant de vous l’apporter à table : soupes, tabbouleh, salade tomates/olives, houmous, feuilles de vignes farcies et plats traditionnels (29 € au déjeuner et 39 € au dîner). Mention spéciale aux plats chauds végétariens chaque jour et au sublime café blanc. À tester absolument : le brunch comme à Beyrouth le samedi et le dimanche (39 €).

Tawlet Paris 2 rue de la fontaine au roi, Paris 11e. 06 73 92 49 12. Ouvert du mardi au samedi de 12h à 14h et de 19h30 à 22h, le dimanche de 12h à 14h

 

Café Lapérouse

Le resto branché Le café Lapérouse

Le lieu. Depuis l’ouverture cet été du musée place de la Concorde, l’Hôtel de la Marine s’affiche comme le rendez-vous le plus couru de cette rentrée. Tout particulièrement sa salle à manger, nouveau fief de la mode et de la couture dans un décor spectaculaire signé Cordelia de Castellane ( D.A de Dior Maison). Mention spéciale à sa terrasse intérieure, havre de paix et de chic.

On croise qui ? Olivier Rousteing, Antoine Arnault, Natalia Vodianova, et of course la team de Dior.

Nourriture de brindilles. Stars de la carte, les œufs à la coque garnis de truffe (19 €) ou de caviar (65 €) font sensation. Autre valeur sûre : le croque-monsieur (24 €). Mais à l’unanimité, on vient plus ici pour “voir” que se régaler.

Café Lapérouse à l’Hôtel de la Marine, 2 place de la Concorde, Paris 8e. 01 53 93 65 53. Ouvert du lundi au dimanche de 8h à minuit.

 

Onii-San

Le resto branché Oniisan à Paris

Le lieu.  Quand Olivier Léone, le co-fondateur de la griffe de souliers ultra convoités Nodaleto, se maque avec son pote Arthur Cohen mordu de culture nippone, ça donne  Onii-San (“grand frère” en VF), la cantine jap’ la plus sexy du moment. Forcément cool, le lieu s’avère à l’image de cette nouvelle génération bien dans ses Nike qui mixe avec talent le kitsch et le raffiné avec des affiches #lol, des vases tradi et de la vaisselle ramenés du Japon par Arthur. Vraiment sympa.

On y croise qui ? Toute la faune mode du Marais s’y presse déjà, ravie de pouvoir se montrer en satellite de la team Nodaleto : le D.A. de Vuitton Nicolas Ghesquière, Sarah Andelman (colette), Clara Cornet, Emmanuelle Alt, le photographe David Sims, Adrian Joffre (Comme des Garçons) et une armée quotidienne de stylistes et mannequins.

Nourriture de brindilles. Plus qu’un énième comptoir à sushis sophistiqué, Onii-San joue la carte de l’izakaya, les fameux pubs tokyoïtes où l’on vient grignoter de petites assiettes et siffler de la bière ou du saké en bande : anguille laquée, poivre sansho, thé noir fumé (31 €), sashimis de seriole, œufs de truite, crème de miso et wasabi, sarrasin grillé, sauce mirin (27 €), toro sando – un sandwich XXL dément (28 €) ou un Onii Riz au lait, crumble de sésame noir, sauce kiromizu, kinako (12 €).

Onii-San, 82 rue des Archives, Paris 3e. 06 51 91 21 01. Ouvert le lundi et mardi de 19h à 23h30, du mercredi au samedi de 12h à 14h30 et de 19h à 23h30, le dimanche de 12h à 15h et de 19h à 23h30.

 

Le Relais Plaza

Le resto branché Le Plaza avec Jean Imbert

Le lieu. Le Relais Plaza, brasserie mythique du palace, perdure dans la perfection haute couture avec une atmosphère glamour magique et inimitable. Après les années Ducasse, l’arrivée de Jean Imbert en cuisine crée plus que jamais l'événement, soutenu par le service plus que parfait de Marie Sauvage, la figure parisienne par excellence.

On y croise qui ? Le Tout-Paris (acteurs, journalistes, politiques, hommes d’affaires) mais aussi la jet-set américaine de très haute volée du palace, fan de Jean Imbert.

Nourriture de brindilles. Jean Imbert a importé la cuisine de Mamie dans une version brasserie de palace : langoustes-mayo (48 €) et tartare Pont-Neuf (45 €), et même un super semainier tous les midis (miam, la quenelle de brochet, sauce nantua et riz pilaf, 56 €). En dessert : l'incontournable île flottante minute (30 € pour deux) ou la tarte au citron meringuée (36 € pour deux) se posent sur toutes les tables.

Ouvert du lundi au dimanche, entre 12h15 et 14h, puis entre 19h30 et 22h30, le jeudi vendredi et samedi jusqu'à 23h sur réservation

Le Relais Plaza, à l'Hôtel Plaza Athénée, 25 avenue Montaigne, Paris 8e

 

Mar’co

Portrait de Sarah Andelman et la Décoration de la salle du restaurant Mar’co

Le lieu. Le Water Bar est mort. Vive le Mar’co ! Les Parisiennes de la haute pleuraient la fermeture de la cantine de Colette. Son créateur Marc Giami a ouvert le même concept à deux pas !

On croise qui ? Sarah Andelman, Leïla Bekhti, Sarah Lavoine… Bref, du beau monde au portillon.

Nourriture de brindilles. Une carte griffée avec des grands noms de la food : la caesar salade et sa fameuse « sauce Costes » (20 €), l’assiette Mar’co (à partir de 19 €), le croque-monsieur de Sébastien Gaudard (21,50 €) ou le cheesecake de Jean-Paul Hévin (12,60 €).

Marc'o, 4 rue de la Sourdière, 75001 Paris. 01 44 82 03 74. Ouvert du lundi au samedi, de 8h30 à 19h.

 

Hôtel Grand Amour

Décoration de la Terrasse du restaurant de l'Hotel Grand Amour

Le lieu. L’Auberge espagnole des branchés abrite la salle à manger la plus rock and roll de Paris. Le trio infernal formé par Thierry Costes, André Saraiva et Emmanuel Delavenne y reçoit un public de haut vol dans une atmosphère qui flirte avec le Palace et le Studio 54.

On croise qui ? Le tycoon Olivier Zahm (Purple y organise chaque année sa soirée fashion week), les Kate Moss de demain (agences IMG et Elite), et tous ceux qui pèsent dans la fashion sphère.

Nourriture de brindilles. Pastrami et pickles maison (15 €), aubergine rôtie, sésame et grenade (11 €), ravioles ricotta/ citron et roquette/ amandes (20 €) et une tarte tatin pour deux (15 €) histoire de boucler la boucle ! 

Hôtel Grand Amour,18 rue de la Fidélité, 75010 Paris, 01 44 16 03 30. Ouvert tous les jours sur réservation en service continu de 12h à 23h30 .

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